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OGAWA Mimei
(Takada, 07/04/1882 - Tokyo, 11/05/1961
"" (Wikipedia).
Avant de se consacrer à l'écriture de contes pour enfants à la fin des années 20, il avait écrit des romans influencés par le socialisme et à tendance anti-militariste. (d'après Louis Frédéric, Le Japon, Dictionnaire et Civilisation, Bouquins, Robert Laffont)
- Le marchand de pierres précieuses. Conte traduit du japonais par Souad Néouchy. Disponible en format epub.
" [sic] "
La notion de rareté en grand nombre me fait toujours penser aux produits que l'on dit, dans les publicités, riches en oligo-éléments : un étrange oxymore. Dès le début du conte, on voit que le texte français est un peu approximatif et qu'il comporte pas mal de petites fautes.
Notre héros, un marchand, va dans le pays du Nord pour se procurer des pierres. Le voici dans un magasin : il ""
Le lecteur moyen (moi) se dit que si les articles sont introuvables, il n'est pas besoin de les chercher... Sans doute faut-il comprendre introuvable dans le pays du Sud, mais de toute façon on nous avait dit au début qu'il n'y en avait pas là-bas... Perplexité...
Bref, on bute souvent sur des termes bizarres ou un poil redondants (""...).
Revenons au conte. Le marchand négocie les pierres le plus possible à la baisse : il fait son travail de marchand, mais on va considérer que c'est mal, puisqu'il veut s'enrichir tout seul, sans dire aux malheureux habitants du Nord que leurs pierres valent des fortunes dans le Sud !
Ensuite, il part vers le pays du Sud pour revendre ses pierres à bon prix.
Bien sûr, tput ne se passera pas comme prévu, sinon il n'y aurait pas d'histoires. C'est un texte classique : épreuve, promesse qu'il faut tenir, sinon...
Pas désagréable, mais pas très original, et le texte français très maladroit est hélas souvent agaçant.
- La Princesse rouge et le prince impérial noir. Conte traduit du japonais par Evelyne Taing. Disponible en format epub.
Le conte commence ainsi :
""
La princesse va se renseigner : non seulement elle ne connaît pas ce prince, mais elle n'a même jamais vu ce pays !
Le texte français est de meilleure qualité que celui du conte précédent. Il comporte quand même d'assez nombreuses fautes et maladresses (par exemple "" : pas besoin de se relire très attentivement pour sentir qu'il y a un problème ; et à un moment donné, on voit les repentirs de la traductrice, comme dans un document Word où l'on aurait laissé l'option pour visualiser les corrections, cela fait très curieux).
Comme dans le conte précédent, le texte bascule dans l'onirique et le fantastique, mais ici l'atmosphère mystérieuse fonctionne bien mieux, et il y a une certaine originalité dans le fait qu'on ne voit rien.
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