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Iles Aland (20/06/2009 au 27/06/2009)
On est à Mariehamn, capitale - et seule ville - des îles Aland.
Nous franchissons la douane. Il n'y a personne. Mais le nounours de la douane veille, paraît-il...
Une photo de Mariehamn... Il y en a plus sur le compte-rendu de l'année précédente (voir Septentrion 2008 - Mariehamn).
Transportons-nous 13 kilomètres plus loin, à Gottby.
Les jolies couleurs du soir :
Sterne arctique :
Cygnes dans la brume (c'est fou comme ça fait du bruit, les ailes des cygnes qui font flap-flap sur l'eau au décollage...)
Toujours la brume :
Un livre qui traînait par là...
Prenons un peu de recul... on aperçoit la mer, là-bas...
Ah, il faut que je vous fasse visiter notre modeste demeure...
Voici doncle modeste chalet où nous allons séjourner une petite semaine :
Et, sans plus attendre : le sauna (électrique : les pierres sont chauffées, on verse de l'eau dessus) :
Passons au séjour :
Sortons par la droite :
Ah, que d'heures passées là, à bouquiner tranquille le petit matin (c'est-à-dire jusqu'à 16h00), à jouer aux cartes en début d'après-midi (vers 20h00)...
Mais il y a d'autres distractions :
... ou bien s'entraîner avec son appareil photo (effets de flous) :
Mais allons plutôt en direction de la mer, à trois minutes à pied :
Au passage, je vous présente un voisin :
Il y a de la brume, derrière laquelle se cache parfois un cygne.
La brume finir par se lever...
Tentative de composition, style nature morte flammande :
Mon petit pan de mur jaune à moi est une maison rouge :
Le soir.
Un oiseau passe...
Et un on entend un plouf soudain, un poisson était venu voir, il repart...
Eloignons-nous... (satanés moustiques !)
Parmi les occupations de la semaine : écouter de la musique (ou bien était-ce un perroquet que l'on étrangle, comme dirait Woody Allen) interprétée sur la vielle à roue (Suédoise) que l'on peut voir sur la gauche, posée sur la table :
Pédaler jusqu'à la ville (13 bornes), avec petite pause à un lac squatté par un nombre incroyable de cygnes :
... et sur le chemin photographier de jolis coins...
... et les moulins à vent :
Voir les bateaux (là, c'est un musée, en fait)
... les flopées de voitures qui débarquent ou qui embarquent :
Lire le mode d'emploi (rien compris) pour le tri poubelle...
Photographier la même chose (mais pas le même jour) à 8h30 le matin et à 21h00 le soir (le début d'après-midi, quoi) :
Manger des pandas :
Photographier les gens qui photographient (il y a plus fanatique que moi, ça fait bizarre) :
Et photographier ses bouquins dans un lieu "signifiant" (l'Anneau du pêcheur à côté d'une barque) :
Petite promenade en barque :
... explorations de fonds vraiment pas profonds, et embourbement :
Le ciel se couvre un peu :
Mais il n'y a pas que le mer, il y a aussi la campagne, et la forêt.
Petite promenade, et jeu "saurez-vous trouver l'intrus ?".
... et en parlant d'intrus, drôle de rencontre en pleine forêt :
Arbres aux branches curieuses :
Petite maison sympathique en bordure de forêt :
... et on est sorti :
Séance de contemplation des petites fleurs sur fond de mer :
Les moustiques sont omniprésents... il est temps de prendre des risques...
... mais surtout de partir !
Cette semaine, il semble que les moustiques venaient de naître. Ils ont fait leurs petites dents pendant quelques jours : on était piqué, mais bof, même pas mal.
Par contre, les deux derniers jours, les petits moustiques sont devenus plus grands et... c'était vraiment le moment de partir. Ou alors, avoir une poche de sang à portée de main.
Bref, la semaine suivante, les moustiques ont dû avoir plein de touristes à boulotter (c'était la haute saison, avec les Jeux locaux). Ils ont dû mourir d'indigestion, pour certains (les moustiques, bien sûr, pas les touristes).
Question nourriture, on ne s'est pas laissé abattre (le point de ravitaillement était quand même à treize kilomètres). Par exemple, le dernier jour (ça devait être le repas de midi de 17h00 ou 18h00) :
Gros plan :
Eh oui, vous noterez l'étiquette bilingue, finnois-suédois, car ces deux langues sont parlées aux îles Aland.
Le départ, donc.
Sous l'oeil attentif d'un petit oiseau :
Deux ferry partent avec quelque chose comme vingt minutes de différence. Nous prenons le premier, la compagnie Finlandaise Silja, plutôt que la Suédoise Viking.
Erreur... Viking amène au centre de Stockholm... et Silja en périphérie, ce qui nous obligera à prendre le métro après.
Pas bien grave.
En attendant, nous regardons les grands dessins rigolos des ferries Silja :
Un homme (en bas à droite) semble tirer le ferry à lui tout seul (on le voyait déjà sur la photo précédente) :
Et c'est la traversée habituelle (avec changement d'heure dans le bon sens).
